Central Park

Plus de 340 hectares de verdure en plein cœur de Manhattan. Depuis son ouverture initiale en 1857 sur le site d’un village indien Seneca, ce rectangle paysagé tantôt à l’anglaise tantôt à la française, permet aux New-Yorkais et aux visiteurs de s’échapper de la folie de Manhattan, de s’ébattre, de s’aérer, sauf de nuit. En conservant quasi toujours un œil sur les gratte-ciel dépassant des frondaisons, une vue classique des films tournés à New York.

On voit même le New Jersey depuis Summit Rock. Il existe cinq Visitors Centers, d’où partent des visites thématiques organisées. Central Park, ce sont de grands espaces verts, des jardins, des lacs à canotage et parties de pêche, des sentiers pédestres, des pistes cyclables (vélo, skate, rollers), des terrains de jeux mais aussi des installations plus techniques.

Piscines, théâtres de plein air, minigolfs, patinoires, courts de tennis ! La partie sud jusqu’au Reservoir J. Kennedy-Onassis est la plus fréquentée, absorbant une partie du trafic des musées limitrophes et du petit zoo.

Le nord est en général bien plus calme mais on y trouve aussi une piscine, bien agréable l’été. C’est bien sûr l’endroit idéal pour un pique-nique (n’amenez pas d’alcool et ne fumez pas non plus !). Lors du brunch du dimanche matin, les familles se mélangent aux skateurs, danseurs de hip-hop, lanceurs de frisbees et joggeurs. Les amateurs de calme et de repos seront comblés, de nombreux sites sont interdits à toute activité bruyante.

Pour se restaurer, il y a quelques cafés, restaurants, boulangeries et roulottes qui proposent hot-dogs et bretzels. C’est à pied ou à vélo que l’on apprécie le parc mais on peut aussi faire un tour en calèche, en vélo-taxi… Si la fontaine de Bethesda est l’un des plus spectaculaires monuments qui émaillent le parc, la statue d’Alice au Pays des Merveilles ou l’aiguille de Cléopâtre sont les plus inattendues.